Les racines de ma rage.
La haine à l'égard de mon beau-père, puis envers la société toute entière, s'est cristallisée à l'instant même où, pour me faire souffrir, il a tué mon chien d'un coup de fusil. J'étais là, aux toutes premières loges et ce chien était toute ma vie. J'avais neuf ans.
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